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En visite à Nîmes, la candidate s’est vue forcée de répondre à Emmanuel Macron et a tenté de se distinguer, alors que son adversaire fait campagne à droite.
De notre envoyé spécial à Nîmes, Jacques Paugam
Publié le 18/03/2022 à 17h21
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Une brève poignée de main, entre deux rideaux tendus, cachés à l’abri des regards. C’est tout ce qu’Emmanuel Macron, président en campagne, aura finalement accordé à Valérie Pécresse, sa rivale de droite. Les deux candidats, invités de l’émission La France en guerre diffusée sur TF1 ce lundi 14 mars, n’auront pas échangé un mot en public, encore moins débattu devant les Français. Contrairement à Xavier Bertrand, alors candidat au congrès des Républicains, qui avait à deux reprises interpellé le chef de l’État devant les caméras, au risque de la confrontation. Au grand regret de la candidate qui, après avoir théorisé le duel avec Emmanuel Macron, voit aujourd’hui son projet, en partie, repris par son adversaire. Une mauvaise manière supplémentaire et un signal clair envoyé aux électeurs…
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