Pour attirer de nouveaux résidents et ne pas devenir une ville-musée, Venise est prête à leur faire des ponts d’or. Marie-Axelle, par exemple, n’est pas une vacancière française de plus à Venise : cela fait déjà trois mois qu’elle y travaille. “Mes clients sont un peu à travers le monde”, explique-t-elle à notre équipe, “tout à l’heure, j’ai une réunion avec un client qui est en Égypte, j’ai un autre client à Istanbul… Là où j’habite n’a plus aucune importance”. Cette conseillère en robotique et en logiciels a posé ses valises pour onze mois et découvre un nouveau quotidien. “Il n’y a pas de voiture, il y a de l’eau”, s’enthousiasme-t-elle en déambulant le long d’un canal, “les gens sont sympas (…), le mode de vie est fabuleux”.

Source Google News – Cliquez pour lire l’article original