EN DIRECT – Meetings de Zemmour et de Taubira: suivez l’actualité de la présidentielle – BFMTV

La candidate à l’élection présidentielle a détaillé ce samedi à Créteil les mesures qu’elle souhaite prendre pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles.

“On va mettre un milliard sur la table, le montant estimé par le Haut Conseil à l’Egalité. Nous allons le mettre sur la table, un vrai milliard, et pas le milliard d’esbroufe du gouvernement”, a-t-elle déclaré.

À Créteil, l’ancienne garde des Sceaux Christiane Taubira, aujourd’hui candidate à l’élection présidentielle, a appelé à vaincre lors du scrutin d’avril prochain ce qu’elle a décrit comme “les candidats de la guerre civile”.

“Nous en sommes capables, et nous le ferons. Nous le ferons ensemble!”, a-t-elle déclaré, avant de fustiger des “fantasmes identitaires destructeurs”.

La candidate à l’élection présidentielle a annoncé ce samedi, lors d’une réunion publique organisée à Créteil, sa volonté de créer une “cour d’équité territoriale”.

“Je vais créer une cour d’équité territoriale, qui devra vérifier que les services publics correspondent bien partout sur le territoire, ici et dans les Outre-mer”, a-t-elle déclaré.

Le Parti animaliste a appelé ce samedi les maires à le parrainer pour “sauver la démocratie” et le “pluralisme politique” plutôt que de soutenir les candidats ayant déjà dépassé les 500 parrainages.

“Sur les 500 parrainages nécessaires pour se présenter à l’élection présidentielle, certains en ont bien plus que nécessaire. Certains en ont 1.050, 1.249 (et) fanfaronnent sur Internet”, a dénoncé Hélène Thouy, cofondatrice du Parti animaliste et candidate à la présidentielle, faisant respectivement référence à Emmanuel Macron et Valérie Pécresse.

“À chaque parrainage supplémentaire (…), c’est un clou qui est enfoncé dans ce cercueil de la démocratie et du pluralisme politique”, a-t-elle déclaré.

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Le président du Modem a exprimé son sentiment à l’égard des manifestants du “convoi de la liberté” actuellement dans les rues de Paris, y voyant des rapprochements avec les Gilets jaunes.

“Il y a, toutes les semaines et tous les jours, des personnes qui meurent encore à l’hôpital de cette maladie, de la Covid-19 et il y a ce mouvement, qui est un mouvement de protestation avec volonté de blocage du pays pour obtenir, on ne sait pas quoi exactement, mais nous voyons bien qu’il s’agit d’un mouvement que j’appellerai de sécession d’une partie du pays, qui ne comprend pas, ne se retrouve pas et a un désir de révolte”, a-t-il déclaré sur France Inter.

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La candidate Arthaud a exprimé son soutien à l’égard du mouvement dit du “convoi de la liberté” manifestant actullement à Paris.

“Je me réjouis qu’il y ait des hommes et des femmes qui cherchent à faire entendre leur intérêt, leur voix”, se félicite-t-elle sur BFMTV.

“Je sais bien qu’il y a un mélange dans les revendications, mais il y a aussi une contestation sociale et un ras-le-bol de voir que quand on est salarié on a de plus en plus de mal à vivre”, dénonce-t-elle.

La candidate à la présendielle tient cet après-midi un meeting à la Maison de la mutualité, dans le 5e arrondissement de Paris.

Emmanuel Macron “est le candidat qui démarre sa campagne avec des blindés, ça lui ressemble assez”, a taclé Marine Le Pen au micro de BFMTV ce samedi, en référence aux interpellations de véhicules appartenant au “convoi de la liberté”, ce matin.

“Dans la foulée de l’arrivée des blindés de la gendarmerie à Paris, il pourrait annoncer sa candidature parce que symboliquement ça ressemble je trouve à son mandat”, a-t-elle lancé, évoquant un mandat “de chaos”.

Sur la question de son soutien ou non au mouvement, la candidate a botté en touche, “le problème n’est pas de savoir si j’y crois ou si je n’y crois pas. Le problème est de savoir ce que pensent les Français. Les Français ne s’en sortent pas”, a-t-elle assuré.

Plusieurs centaines de véhicules de “convois de la liberté” ont été interpellées par les forces de l’ordre alors qu’ils tentaient d’entrer dans Paris, ce samedi.

Nouvelle défection pour le camp du Rassemblement national. Proche de Jean-Marie Le Pen, Lorrain de Saint Affrique, a décidé de rejoindre Eric Zemmour dans le cadre de la campagne présidentielle et d’adhérer au mouvement Reconquête!, selon Le Point.

Conseiller en communication du leader frontiste de 1984 à 1994 et conseiller régional FN du Languedoc-Roussillon de 1992 à 1998, il avait été exclu du mouvement en 1994 après avoir accusé Bruno Mégret de “protéger des néonazis”.

Il était présent au meeting de Villepinte d’Eric Zemmour et souhaite désormais obtenir une investiture Reconquête ! aux prochaines législatives.

Marine Le Pen connaît récemment plusieurs départs dans son camp en faveur d’Eric Zemmour, dont les eurodéputés Gilbert Collard et Jérôme Rivière. Sa nièce Marion Maréchal a aussi indiqué hésiter à soutenir l’ancien journaliste.

La candidate de Lutte ouvrière est en bonne voie d’obtenir les 500 parrainages nécessaires pour être candidate officielle à la présidentielle, elle en possède 419, et s’en félicite sur FranceInfo ce samedi.

“Les maires de petites communes font preuve d’un esprit démocratique, et j’en suis reconnaissante”, salue-t-elle.

“Pour défendre une politique il faut se battre, donc on s’organise et on bagarre pour aller voir les maires”, explique-t-elle.

A la peine dans les intentions de vote, la candidate a pourtant récolté bien plus de parrainages que Marine Le Pen (274) ou Eric Zemmour (181).

Alors qu’Emmanuel Macron continue de jouer la montre concernant sa candidature à la présidentielle, ses troupes se réunissent. C’est notamment le cas du ministre de la Santé Olivier Véran, qui organisait un rassemblement de soutien au président de la République en Isère.

“Celles et ceux qui sont ici sont venus nous dire, quelle que soit leur origine politique (…): “nous voulons la réélection d’Emmanuel Macron”, explique le ministre.

Un discours offensif qui marque définitivement l’entrée en campagne des proches du président, qui se refuse toujours à se porter officiellement candidat.

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Christiane Taubira va tenter de redonner un nouvel élan à sa campagne présidentielle avec un meeting à Créteil, dans le Val-de-Marne, ce samedi après-midi à partir de 15h.

La gagnante de la Primaire populaire dégringole dans les sondages qui la créditent à 3,5%, des voix en baisse de 2,5 points par rapport à la semaine dernière, selon une étude Opinion 2022 réalisé par Elabe pour BFMTV et L’Express avec notre partenaire SFR et publié mercredi.

Après Villepinte, en Seine-Saint-Denis, et Lille, dans le Nord, le candidat d’extrême-droite s’aventure dans une région plus rurale en organisant un meeting à Saulieu, en Côte-d’or, à partir de 15h.

Près de 4000 personnes sont attendues à l’esace Jean-Bertin ce samedi à l’occasion d’un rendez-vous lors duquel le candidat doit aborder la question de la ruralité.

Une manifestation est prévue contre la venue de l’ancien journaliste à l’appel de l’intersyndicale et inter associations de Côte-d’Or, comprenant notamment la CGT, Attac 21 ou encore la Ligue des droits de l’homme Bourgogne-Franche-Comté, selon Le Bien Public.

Bienvenue dans ce direct, consacré à l’actualité politique de ce samedi 12 février 2022.